The ArchPlot Structure or Hero’s Journey.

Gemini

Introduction

The archplot structure is a classic storytelling framework that has been used for centuries to create compelling and engaging narratives. It is a goal-oriented plot structure that follows a protagonist’s journey as they strive to achieve a desired outcome. The archplot structure is often divided into three acts, each with its own distinct set of events and themes.

Act One: The Setup

Act One of the archplot structure is all about setting the stage for the story. It introduces the protagonist, their ordinary world, and the inciting incident that disrupts their life and sets them on their journey. The inciting incident is often a major event that forces the protagonist to take action and change their life.

Act Two: The Challenge

Act Two of the archplot structure is where the protagonist faces their challenges and obstacles. They must overcome trials, confront enemies, and make difficult decisions. The stakes are raised in Act Two, and the protagonist’s determination is tested.

Act Three: The Resolution

Act Three of the archplot structure is where the protagonist’s journey comes to an end. They face their final challenge, and the story reaches its climax. The resolution should provide a satisfying conclusion to the story and leave the reader with a sense of closure.

The Seven Energetic Markers

The archplot structure is also characterized by seven energetic markers, which are key plot points that help to drive the story forward. The seven energetic markers are:

  • Energetic Marker 1: End of the Beginning

The End of the Beginning is the moment when the protagonist’s ordinary world is disrupted and they are set on their journey.

  • Energetic Marker 2: Preparation

Preparation is the time when the protagonist prepares for their journey. They may gather supplies, train for battle, or seek out mentors.

  • Energetic Marker 3: Crisis

The Crisis is the moment when the protagonist faces their greatest challenge. It is the turning point of the story, and the protagonist’s fate hangs in the balance.

  • Energetic Marker 4: Climax

The Climax is the highest point of tension in the story. It is the moment when the protagonist confronts their final obstacle and the outcome of the story is determined.

  • Energetic Marker 5: Descent

The Descent is the moment when the protagonist begins to return to their ordinary world. They may reflect on their journey and make sense of their experiences.

  • Energetic Marker 6: Return with the Elixir

The Return with the Elixir is the moment when the protagonist returns to their ordinary world with a newfound understanding or transformation. They may share their experiences with others or use their newfound knowledge to make a difference in the world.

  • Energetic Marker 7: Transformation

Transformation is the final stage of the archplot structure. It is the moment when the protagonist has fully integrated their experiences and has been changed by their journey.

Examples of Archplot Stories

The archplot structure is a versatile framework that can be used to tell a wide variety of stories. Some popular examples of archplot stories include:

  • The Hero’s Journey

The Hero’s Journey is a classic archplot structure that is often used in myth, folklore, and literature. It follows the story of a hero who leaves their ordinary world, faces challenges and trials, and ultimately returns with a newfound understanding or transformation.

  • The Rags to Riches Story

The Rags to Riches Story is another popular archplot structure that tells the story of a protagonist who overcomes their humble beginnings to achieve great success.

  • The Revenge Story

The Revenge Story is a type of archplot structure that follows a protagonist who seeks revenge on someone who has wronged them.

Conclusion

The archplot structure is a powerful tool that can be used to create compelling and engaging stories. It is a versatile framework that can be used to tell a wide variety of genres and themes. If you are looking to write a story that will captivate your readers, the archplot structure is a great place to start.

Additional Tips for Writing Archplot Stories

  • Develop a strong protagonist. The protagonist is the heart of the story, so it is important to create a character that the reader can care about. Make sure your protagonist is relatable, believable, and has a clear goal.

  • Create a conflict. Conflict is what drives the story forward, so make sure your protagonist faces a significant challenge that they must overcome.

  • Raise the stakes. As the story progresses, the stakes should get higher and higher. This will keep the reader engaged and invested in the outcome of the story.

  • Provide a satisfying resolution. The resolution should provide a satisfying conclusion to the story and leave the reader with a sense of closure.


ChatGPT

 La Structure de l’Archplot : L’art de la narration

Dans le monde du cinéma et de l’écriture, la structure narrative est cruciale pour captiver l’audience. L’une des structures les plus emblématiques est l’Archplot, aussi appelée le “voyage du héros”, qui guide les auteurs à travers les étapes clés d’une histoire. Cette structure s’aligne étroitement sur le modèle de la narration aristotélicienne, mettant en avant un protagoniste orienté vers un objectif précis. Voici un aperçu des étapes cruciales de cette structure :

Acte 1 : Le Commencement
1. Monde Ordinaire : C’est le point de départ du protagoniste. Le statu quo de sa vie avant le déclenchement des événements.
2. Appel à l’Aventure : L’événement incitatif qui lance le héros dans son voyage.
3. Refus de l’Appel : Le héros montre des hésitations, influencé par ses peurs ou les avertissements d’autres personnages.
4. Franchir le Premier Seuil : Le héros prend un engagement en franchissant un point de non-retour, se lançant pleinement dans sa quête.

 Acte 2 : Le Milieu
5. Tests, Alliés et Ennemis : Le héros rencontre des obstacles, se fait des alliés et affronte des ennemis, ce qui l’aide à évoluer.
6. Point Milieu : Un moment crucial qui modifie la perception du héros sur sa quête. C’est un tournant qui l’engage davantage.
7. Approche de la Caverne Intérieure : Le héros se prépare à affronter les épreuves les plus redoutables, rassemblant ses forces et ses alliés.

Acte 3 : La Fin
8. L’Ultime Effort : Le héros déploie ses derniers efforts pour atteindre son objectif.
9. S’emparer de l’Épée : C’est le climax de l’histoire, où le héros triomphe ou échoue.
10. Retour avec l’Élixir : Le héros retourne à sa vie normale, transformé par son aventure et souvent porteur d’un savoir ou d’un pouvoir qui bénéficiera à son monde.

Conclusion
La structure Archplot est une feuille de route essentielle pour les conteurs. Elle guide l’auteur dans la création d’une histoire captivante, pleine de tensions, de rebondissements et d’une résolution satisfaisante. Que vous soyez un écrivain chevronné ou un débutant, cette structure vous aidera à tisser des récits inoubliables.


Claude

Décryptez la structure archplot pour construire une histoire percutante

Si vous cherchez à créer une histoire riche et prenante, la structure archplot est un excellent modèle à suivre. Cette représentation schématique divise une intrigue en trois grandes parties (début, milieu, fin) et identifie les moments-clés qui feront vibrer vos lecteurs.

L’acte I – Le Début

Tout commence par le monde ordinaire du protagoniste, sa vie et son environnement familiers. Mais un élément perturbateur, l’incident déclencheur ou catalyseur, vient chambouler cet équilibre. Notre héros reçoit alors un appel à l’aventure qu’il peut initialement refuser par peur ou réticence. Il devra traverser un premier seuil gardé par des obstacles pour véritablement s’engager dans le nouveau monde qui s’ouvre à lui.

L’acte II – Le Milieu

Dans cette partie centrale, les enjeux et défis ne font que s’intensifier. Le protagoniste fait face à une série d’épreuves, de tests, de nouveaux alliés ou ennemis. Il atteint un point de non-retour qui l’oblige à poursuivre sa quête coûte que coûte. La mi-chemin, un tournant décisif fait basculer la donne et augmente les risques. Les antagonistes resserrent l’étau et petit à petit, tout semble perdu pour le héros.

Mais c’est précisément au creux de l’infortune, dans cette nuit noire de l’âme, qu’une lueur d’espoir jaillit. Grâce à un déclic, une nouvelle stratégie ou sagesse acquise, le protagoniste renaît de ses cendres, plus fort et déterminé que jamais.

L’acte III – La Fin

Dans l’acte final, le rythme s’accélère de manière fulgurante. Le héros livre une dernière grande offensive dans une confrontation ultime digne des plus grands défis. S’il remporte cette épreuve décisive, il repartira auréolé d’un nouveau statut de vainqueur, transformé par l’expérience vécue. La boucle est bouclée avec un retour au monde ordinaire, mais sous un jour totalement neuf.

En suivant les principales étapes de cette structure dramatique puissante, votre récit gagnera en profondeur, rebondissements et pourra tenir vos lecteurs en haleine du début à la fin. L’archplot constitue ainsi un fantastique outil pour tout auteur en mal d’inspiration ou de repères narratifs solides. À vous de vous en emparer pour créer la prochaine grande histoire à succès !

Méthode “Save the cat” sur Pierre avec ChatGPT4

En utilisant la méthode “Save the cat”, reprends le texte de Pierre pour en faire une nouvelle d’environ 3000 mots. Utilise le style du texte au maximum.

Fabrice, voici une version développée du premier point :

Dans la lueur pâle de l’aube, Pierre s’éveille, entouré par les murmures de la nature qui reprennent vie autour de sa petite maison. Allongé dans son lit, il écoute le ruisseau couler doucement à travers les bois, apportant une symphonie paisible qui contraste avec les craquements sporadiques des murs de bois qui s’étirent à mesure que la pièce se réchauffe. La lumière naissante du printemps filtre à travers les persiennes, projetant des ombres sur les murs fatigués. Pierre reste là, profitant de la douce chaleur de son vieux lit, enveloppé par le confort de la routine matinale.

Les rayons du soleil jouent sur les traits de son visage marqué par le temps, révélant les rides profondes creusées par les années. Les souvenirs de sa vie semblent s’entremêler avec l’air du matin, apportant un parfum de nostalgie. Chaque matin, il trouve un réconfort dans ces moments de calme, bercé par le chant des oiseaux qui saluent le jour naissant.

Cependant, ce matin particulier, un frisson parcourt sa colonne vertébrale. Son corps est alourdi par les années et la maladie, et le simple fait de se lever du lit devient une épreuve. Mais il trouve la force de repousser la vieille couverture rouge, s’asseyant au bord du lit, prêt à affronter un nouveau jour.

Fabrice, voici le développement du deuxième point :

Alors que Pierre se lève et commence sa routine matinale, il médite sur le thème sous-jacent qui a façonné sa vie : la mémoire et le poids du passé. Ses pensées vagabondent entre les souvenirs qui l’habitent et la réalité de ses vieux jours, le plongeant dans une mer de nostalgie. À travers les dialogues silencieux qu’il entretient avec lui-même, l’histoire de sa vie commence à se dévoiler, révélant le rôle crucial que la mémoire joue dans sa vision du monde.

En se traînant vers la cuisine, il se remémore la première fois où il a rencontré Anna, dans une Varsovie en guerre. Les horreurs du conflit se mêlent aux doux souvenirs de leur amour naissant. Il entend encore les paroles réconfortantes d’Anna qui résonnent dans son esprit, le soutenant dans les moments les plus sombres. Chaque détail de leur histoire est profondément enraciné en lui, et il porte ces souvenirs comme une boussole morale qui guide ses actions, même après tant d’années.

En allumant son réchaud pour préparer son café du matin, il est frappé par l’idée que sa vie n’est plus qu’un ensemble de fragments éparpillés. La douleur de ses pertes et la douceur des souvenirs créent un dialogue intérieur continu. Ces pensées hantent son esprit alors qu’il contemple la manière dont elles influencent son présent et façonneront le peu d’avenir qu’il lui reste.

D’accord, Fabrice. Voici le développement des points 3 à 15 :

3. Mise en place :

Pierre, habité par ses souvenirs, entreprend sa routine matinale. En préparant son café et en se rendant dans son potager, on découvre son monde. Une maison modeste mais chaleureuse, entourée par la nature, qu’il cultive avec amour. Les murs sont ornés de photos fanées de sa jeunesse et d’Anna, sa bien-aimée. À travers ces éléments, on voit un homme qui vit dans le passé, trouvant du réconfort dans des habitudes qui lui rappellent des temps plus heureux. Il est affecté par les douleurs physiques et le poids des années, mais son esprit reste vif. Les scènes montrent un homme seul, mais qui trouve de la paix dans sa solitude, en équilibre fragile sur le fil de sa mémoire.

4. Catalyseur :

Alors que Pierre cultive son jardin, un objet enfoui dans le sol attire son attention. C’est un vieux médaillon qu’Anna portait toujours autour du cou. Le voyant, un flot de souvenirs engloutit Pierre. Les images de Varsovie et du ghetto reviennent, entremêlées de scènes de bonheur avec Anna. Ce médaillon, qui avait été perdu depuis longtemps, devient le déclencheur qui pousse Pierre à se replonger dans son passé. La clarté des souvenirs brise la barrière entre passé et présent, faisant revivre les événements tragiques et heureux de sa jeunesse.

5. Débat :

Pierre est confronté à un dilemme intérieur. Plonger dans ses souvenirs douloureux ou se concentrer sur le présent. Il hésite, partagé entre la douleur des souvenirs et le réconfort de leur familiarité. Mais les visions du passé deviennent trop puissantes pour être ignorées. Le médaillon qu’il tient dans ses mains lui rappelle la promesse qu’il avait faite à Anna, de ne jamais oublier leur amour. Pierre se demande s’il peut supporter à nouveau le poids du passé. Lutter contre ses souvenirs pourrait l’aider à avancer, mais il se sent impuissant face à leur emprise.

6. Coupure en deux :

Pierre décide d’affronter son passé et de se souvenir d’Anna et des autres. Il retourne dans sa maison, ouvrant une vieille boîte remplie de lettres et de photos de leur jeunesse. Ses doigts tremblants tracent les contours des visages et des mots écrits. Il plonge dans ce monde de souvenirs, confrontant les horreurs de la guerre et les moments d’amour qu’il a vécus. En ouvrant la boîte, il accepte de faire face aux émotions enfouies. Ce choix marque un tournant pour Pierre, car il entre dans un monde où les frontières entre passé et présent s’effacent.

7. Histoire B :

Les souvenirs d’Anna deviennent plus intenses. Pierre se rappelle les premières fois où ils se sont rencontrés, les promenades sous la pluie, les moments partagés. L’amour entre eux est la lueur qui éclaire les jours sombres du ghetto. Malgré la guerre et les épreuves, leur relation se renforce, devenant une ancre pour Pierre. Les souvenirs d’Anna et de leur relation viennent s’entrelacer avec le récit de la guerre, offrant un contrepoint d’espoir et de beauté au milieu du chaos. L’histoire d’amour parallèle met en lumière la force de leurs sentiments.

8. Amusement et jeux :

Dans sa maison, Pierre trouve des objets qui rappellent les moments heureux avec Anna. Les souvenirs de leurs rires et de leurs jeux lui reviennent. Ils avaient une fois dansé dans la cuisine, ri aux éclats en se prenant au jeu d’imaginer leur vie après la guerre. Ces moments de bonheur insouciant réchauffent le cœur de Pierre et le portent. Ses mains caressent doucement les objets, se souvenant du parfum d’Anna et de sa voix douce. Ce chapitre plus léger montre que même dans les temps les plus sombres, ils ont trouvé des moments pour se détendre et s’amuser.

9. Le point médian :

Les souvenirs atteignent leur apogée lorsque Pierre se rappelle le moment le plus heureux et le plus douloureux de sa vie : le jour où il a demandé Anna en mariage dans le ghetto, malgré les circonstances. C’était un moment d’espoir intense au milieu de l’obscurité, mais aussi de peur. L’amour entre eux était leur refuge contre la brutalité de la guerre. Mais la guerre a aussi volé leur avenir ensemble. Ce souvenir, à la fois doux et amer, marque le point pivot de l’histoire, où Pierre comprend pleinement l’impact de son passé sur sa vie.

10. Les méchants se rapprochent :

Les souvenirs de Pierre deviennent plus sombres et plus violents. Les scènes de guerre s’entremêlent aux moments heureux. Les images de chars et de ruines de Varsovie hantent son esprit, et les cris des soldats résonnent dans ses oreilles. Pierre revit les derniers jours avant la fin du ghetto, les batailles dans les rues et les adieux déchirants. Ces souvenirs se font plus oppressants et envahissent son esprit, laissant moins de place à l’espoir. Les images violentes se superposent aux visages aimés, et Pierre sent la panique s’installer.

11. Tout est perdu :

Pierre atteint le point le plus bas lorsqu’il se rappelle la mort d’Anna. Les dernières images d’elle restent gravées dans son esprit, un rappel douloureux de tout ce qu’il a perdu. La tristesse le submerge et il s’effondre dans sa maison, se sentant impuissant et seul. Les souvenirs, autrefois une source de réconfort, sont maintenant une source de douleur incommensurable. Pierre doute de pouvoir continuer. L’avenir semble sombre et sans espoir, comme s’il n’y avait plus rien pour lui dans le monde présent.

12. Dark Night of the Soul :

Pierre, écrasé par la douleur, erre sans but dans sa maison. Les images de son passé tourbillonnent dans sa tête. Il se tient devant les photographies, l’esprit embrouillé par le chagrin. Les souvenirs d’Anna semblent l’appeler, et il sent qu’il a touché le fond. C’est un moment de désespoir total, où il n’est plus qu’une coquille vide. Pierre ressent l’immense vide laissé par Anna et par tous ceux qu’il a perdus. La nuit noire de l’âme l’enveloppe, le poussant au bord de l’abîme.

13. Break into Three :

Mais dans cette obscurité, une nouvelle idée émerge. Pierre se rend compte que les souvenirs d’Anna ne doivent pas le tirer vers le bas. Il se souvient de la promesse qu’il lui avait faite, de continuer à vivre et de trouver la beauté dans le monde. Avec une nouvelle détermination, il décide de faire quelque chose en mémoire d’Anna. Il entreprend d’écrire ses souvenirs, de coucher sur papier tout ce qu’ils ont vécu ensemble. Cette résolution lui apporte une nouvelle énergie.

14. Finale :

Dans le point culminant de l’histoire, Pierre s’assoit chaque jour pour écrire ses souvenirs. Il revisite les bons et les mauvais moments, mettant sur papier tout ce qui est resté dans son cœur. Cette écriture devient un acte cathartique, lui permettant de trouver une certaine paix. Les larmes coulent parfois sur ses joues, mais il sourit aussi, se souvenant de la force de l’amour qu’ils partageaient. Il achève son récit, satisfait d’avoir honoré la mémoire d’Anna.

15. Image finale :

Pierre se tient devant la stèle d’Anna, le visage baigné de larmes. Mais cette fois, il se sent en paix. Les souvenirs qu’il a couchés sur papier sont un hommage à l’amour et à la vie qu’ils ont partagés. Il sait qu’il rejoindra bientôt Anna, mais il est prêt à faire face au temps qui lui reste. Assis sur le pas de sa porte, il ferme les yeux et laisse le soleil réchauffer son visage, trouvant du réconfort dans les souvenirs et l’amour qui perdure.

 

Les différents points de vue en littérature. Gemini

Les techniques et procédés du point de vue dans l’écriture littéraire

Le point de vue est un élément crucial de l’écriture littéraire. Il détermine la perspective à partir de laquelle l’histoire est racontée et influence la façon dont le lecteur perçoit les événements et les personnages. En choisissant un point de vue particulier, l’auteur peut guider l’interprétation du lecteur et créer une expérience de lecture plus immersive.

Les différents types de point de vue

Il existe trois principaux types de point de vue dans l’écriture littéraire :

1. La première personne: Le narrateur est un personnage de l’histoire et raconte l’histoire à partir de son propre point de vue. Il utilise les pronoms “je”, “me”, “moi” et “mon”.

Exemple: “J’ouvris les yeux et vis le soleil qui brillait à travers les persiennes. Je me sentais reposé et prêt à affronter la journée.”

2. La troisième personne singulière: Le narrateur n’est pas un personnage de l’histoire et raconte l’histoire de manière objective. Il utilise les pronoms “il”, “elle” et “on”.

Exemple: “Pierre ouvrit les yeux et vit le soleil qui brillait à travers les persiennes. Il se sentait reposé et prêt à affronter la journée.”

3. La troisième personne omnisciente: Le narrateur a une connaissance totale de l’histoire et des personnages et peut raconter l’histoire depuis le point de vue de n’importe quel personnage. Il utilise les pronoms “il”, “elle” et “on”.

Exemple: “Pierre ouvrit les yeux et vit le soleil qui brillait à travers les persiennes. Il se sentait reposé et prêt à affronter la journée. Anna, sa femme, était encore endormie dans ses bras. Il sourit en la regardant.”

Les procédés pour créer un point de vue

Il existe plusieurs procédés que les auteurs peuvent utiliser pour créer un point de vue particulier, notamment :

  • Le choix des pronoms: Comme mentionné ci-dessus, le choix des pronoms est le premier indicateur du point de vue.
  • Le style de narration: Le style de narration peut également indiquer le point de vue. Par exemple, un narrateur à la première personne peut utiliser un langage plus informel et personnel, tandis qu’un narrateur à la troisième personne omnisciente peut utiliser un langage plus formel et objectif.
  • Le point de focalisation: Le point de focalisation est le personnage à travers les yeux duquel l’histoire est racontée, même si le narrateur n’est pas à la première personne. L’auteur peut utiliser plusieurs points de focalisation tout au long de l’histoire.
  • Les descriptions: Les descriptions peuvent être utilisées pour révéler les pensées et les sentiments du personnage à travers le regard du narrateur.
  • Les dialogues: Les dialogues peuvent être utilisés pour donner au lecteur un aperçu de la personnalité et des motivations des personnages.

L’importance du point de vue

Le point de vue est un outil puissant que les auteurs peuvent utiliser pour contrôler l’information et l’interprétation du lecteur. En choisissant un point de vue particulier, l’auteur peut créer une expérience de lecture plus immersive et guider l’interprétation du lecteur.

En conclusion, le point de vue est un élément essentiel de l’écriture littéraire. Il permet à l’auteur de créer une histoire captivante et de guider l’interprétation du lecteur.

Les différents points de vue en littérature. Claude 3

L’art du point de vue dans la narration

Le point de vue est un élément essentiel de la narration. C’est ce qui détermine la perspective à travers laquelle l’histoire est racontée. Le choix du bon point de vue peut faire toute la différence pour capter l’attention du lecteur et créer une connexion émotionnelle forte. Découvrons quelques-unes des principales techniques utilisées par les auteurs.

Le narrateur omniscient

Avec ce point de vue, le narrateur a un accès illimité aux pensées, émotions et motivations de tous les personnages. Il connaît tout et peut naviguer librement d’un personnage à l’autre. Cette approche offre une perspective d’ensemble riche, mais peut manquer d’intimité si le narrateur reste trop détaché.

Le narrateur à la troisième personne limité

Ici, le narrateur se concentre sur un seul personnage à la fois, relatant les événements uniquement à travers les yeux de ce protagoniste. Le lecteur est ainsi plongé au cœur des pensées, sentiments et perceptions de ce personnage focal. Un point de vue immersif qui favorise l’identification.

Le narrateur à la première personne

Avec la narration à la première personne, c’est un personnage qui raconte directement l’histoire, exprimant ses émotions et opinions de l’intérieur. Très personnelle et subjective, cette approche limite cependant le champ de vision aux seules expériences de ce “je” narrateur.

La narration à la deuxième personne

Peu commune mais puissante, la deuxième personne interpelle directement le lecteur avec un “vous”, l’impliquant de façon percutante au cœur de l’action. Une technique immersive qui peut sembler artificielle si elle n’est pas maitrisée.

Le changement de perspective

Certains ouvrages adoptent différents points de vue chapitre après chapitre, ou même au sein d’un même chapitre. Offrant une vision kaléidoscopique, ce procédé demande une grande habileté pour éviter toute confusion pour le lecteur.

En définitive, le choix du point de vue est crucial pour l’impact de l’œuvre. À l’auteur de déterminer quelle perspective servira au mieux son histoire et les émotions qu’il souhaite transmettre.

Les différents points de vue en littérature. ChatGPT

Les Techniques et Procédés du Point de Vue dans l’Écriture Littéraire

Introduction

Le point de vue, ou focalisation, est un aspect fondamental de l’écriture littéraire. C’est le prisme à travers lequel le lecteur voit le monde de l’histoire. Différents choix de point de vue peuvent radicalement transformer la façon dont une histoire est perçue, et les auteurs utilisent divers procédés pour exploiter ces perspectives. Dans cet article, nous allons explorer les principales techniques et procédés du point de vue dans l’écriture littéraire.

Types de Points de Vue

A) Le point de Vue Omniscient

Le narrateur omniscient est une voix narrative qui sait tout sur l’histoire et les personnages. Ce narrateur peut plonger dans l’esprit de n’importe quel personnage et fournir des informations que les personnages eux-mêmes ignorent. Cette perspective permet à l’auteur de fournir un aperçu complet du monde fictif, mais peut aussi réduire la proximité émotionnelle entre le lecteur et les personnages.

B) Point de Vue à la Première Personne

Avec le point de vue à la première personne, le narrateur est un personnage de l’histoire, souvent le protagoniste, qui raconte les événements de son propre point de vue. Cela crée une proximité intime entre le narrateur et le lecteur, mais limite les informations à ce que le narrateur connaît ou perçoit. Ce point de vue permet souvent de plonger profondément dans la psychologie du personnage.

C) Point de Vue à la Troisième Personne

La troisième personne peut être divisée en deux sous-catégories principales :

Troisième Personne Limitée

Ici, le narrateur est externe à l’histoire mais se concentre sur un seul personnage à la fois, fournissant au lecteur un aperçu limité à ce que ce personnage sait, pense et ressent.

Troisième Personne Objective

Ce type de narration présente les événements de manière factuelle sans accès direct aux pensées et aux sentiments des personnages. C’est une approche plus détachée, offrant une vue semblable à celle d’une caméra enregistrant simplement les événements.

Techniques Narratives Associées au Point de Vue

D) Focalisation Multiple

Cela implique l’utilisation de plusieurs points de vue pour raconter une histoire. Chaque personnage apporte une perspective différente, offrant au lecteur une vision plus complète de l’intrigue.

E) Focalisation Interne et Externe

La focalisation interne permet au lecteur d’avoir accès aux pensées et aux sentiments des personnages, tandis que la focalisation externe reste en dehors de la tête des personnages, fournissant une vision plus objective.

F) Narrateur Non Digne de Confiance

Un narrateur qui n’est pas totalement fiable ou qui déforme la réalité crée un sentiment d’incertitude chez le lecteur. Ce procédé permet de créer des rebondissements inattendus ou d’approfondir les thèmes de l’illusion et de la perception.

 Conclusion

Le choix du point de vue est crucial pour la manière dont une histoire est perçue et expérimentée par le lecteur. Chaque type de point de vue et chaque technique narrative offre des avantages et des inconvénients qui doivent être pesés en fonction du type d’histoire que l’on souhaite raconter. En comprenant ces différentes techniques, les auteurs peuvent mieux contrôler la manière dont leur récit est reçu par leur public.

Analyse stylistique de Pierre par l’IA

Comme tous les matins, Pierre se réveilla à l’aube. Il aimait ce moment où, immobile dans son lit, il percevait l’infime murmure du ruisseau qui coulait près de sa bicoque. Les lames en bois des murs de sa chambre s’éveillaient, émettant des petits craquements épars à mesure que la température de la pièce s’élevait. En ce début de printemps, les yeux perdus dans les premiers chatoiements du jour qui dardaient au travers des persiennes de l’unique fenêtre de sa chambre, il restait là, dans la chaleur maternelle de ce vieux lit.

Pierre se dressa doucement, tout doucement, car l’arthrose avait remporté de nombreuses victoires sur un corps désormais raidi, usé par la maladie. Il repoussa la vieille couverture rouge, s’assit sur le bord de son lit et fit avec sa tête des petits mouvements circulaires. Puis, s’aidant de ses mains en prenant appui sur le dossier du lit, il s’étira, défiant la sourde plainte de ses membres.

Eté 1942, Varsovie. Combien d’entre eux avaient survécu ? Qui avait réussi à sauter du train et rejoindre l’insurrection ? Qu’importe maintenant…Au premier regard, il se senti attiré par Anna. Ses longs cheveux roux passent entre ses doigts. Il s’enivre de leur abondance et de leur parfum. Sa joue, blottie contre son cou de lait, perçoit le pouls régulier d’un cœur qu’il avait toujours connu, avant même leur rencontre.

Pierre se réchauffa les mains en fixant du regard les volutes qui s’élevaient de sa tasse. Il se surprit à frissonner. Etait-ce la fraîcheur du matin ? Etait-ce la froideur de sa mémoire ? A présent, le jour s’était levé. Il sortit de sa frêle habitation et se rendit sur son petit potager. Lentement, il s’agenouilla et enfouit ses mains lasses dans la terre renaissante. L’humus sentait fort, promesse d’une bonne récolte…

Ils étaient là, entassés dans l’obscurité de cette cave. Les pas des hommes et des chiens au-dessus de leurs têtes jetaient sur leurs épaules et leurs bras les zébrures lumineuses d’une danse macabre. Simon, Elie et Joachim et les autres restaient immobiles, retenant leur respiration, les mains crispées sur leurs fusils. Serrés les uns contre les autres, ils Laissèrent passer le cliquetis assourdissant des chenilles des chars, en chasse des survivants.

Ce matin-là ils purent se reposer, épuisés par une nuit entière à se faufiler parmi les décombres de rues aux maisons si familières, dont certaines les avaient vus naître, grandir jouer et aimer. Cette nuit-là, où la mort menacer de frapper à chaque instant, Il avait fallu rejoindre les insurgés, qui leur donneraient des armes et des vivres ainsi que les dernières nouvelles de l’avancée ennemie. Le corps d’Anna, quoique frêle et affaibli par toutes ces journées sans pain, était d’une beauté incroyable. Pierre s’enhardit et posa une main calleuse et meurtrie sur l’épaule de sa bien-aimée.

Dans un souffle à peine perceptible, Anna se retourna tout doucement vers Pierre. Ses yeux se perdirent dans le bleu d’un regard si tendre, si profond, si accueillant…Il se redressa avec peine, tapotant ses genoux pour faire tomber une terre désormais stérile. Après quelques instants, penché sur le puit aux souvenirs, ses yeux s’embuèrent. Il sentit ses jambes fléchir et se trouva à nouveau sur ses genoux, devant la stèle de celle qu’il allait bientôt rejoindre. Pierre s’assit sur le pas de sa porte, la tête entre les mains. Et comme tous les soirs, il se mit à Pleurer, doucement, tout doucement.

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Analyse stylistique de Gemini

1. Champ lexical :

  • Vie quotidienne: bicoque, chambre, lit, couverture, fenêtre, potager, terre, tasse, porte
  • Vieillesse: arthrose, corps raidi, mains lasses
  • Guerre: train, insurrection, armes, fusils, chars, décombres, rues, maisons, mort, insurgés, vivres, ennemis
  • Souvenirs: mémoire, cave, obscurité, épaules, bras, cliquetis, chenilles, nuit, décombres, avancer, stèle
  • Amour: Anna, longs cheveux roux, parfum, joue, cou, cœur, rencontre, bien-aimée, regard, yeux, beauté, épaule, souffle
  • Nature: ruisseau, lames en bois, craquements, température, printemps, chatoiements, chaleur, soleil, fraîcheur, matin, potager, humu

2. Figures de style :

  • Comparaison: “Ses longs cheveux roux passent entre ses doigts. Il s’enivre de leur abondance et de leur parfum.” (comparaison à une chevelure abondante et parfumée)
  • Métaphore: “Le corps d’Anna, quoique frêle et affaibli par toutes ces journées sans pain, était d’une beauté incroyable.” (métaphore du corps comme une oeuvre d’art)
  • Personnification: “La terre renaissante” (personnification de la terre)
  • Synecdoque: “Pierre s’assit sur le pas de sa porte, la tête entre les mains.” (synecdoque de la partie pour le tout : la tête représente la personne)
  • Allitération: “Pierre se redressa avec peine, tapotant ses genoux pour faire tomber une terre désormais stérile.” (allitération en [p])
  • Assonance: “Pierre s’assit sur le pas de sa porte, la tête entre les mains. Et comme tous les soirs, il se mit à Pleurer, doucement, tout doucement.” (assonance en [e])
  • Rythme : Le texte est rythmé par des phrases courtes et des phrases longues, ce qui crée un effet de vague.
  • Temporalité: Le texte alterne entre le présent et le passé, ce qui crée une tension narrative.
  • Focalisation: Le texte est focalisé sur le point de vue interne de Pierre, ce qui permet au lecteur de comprendre ses pensées et ses sentiments.

3. Structure narrative :

Le texte est construit en trois parties :

  • La première partie présente Pierre dans son quotidien et ses souvenirs de la guerre.
  • La deuxième partie raconte une nuit de guerre pendant laquelle Pierre et ses amis se cachent dans une cave.
  • La troisième partie montre Pierre de retour dans son présent, accablé par la douleur et la solitude.

4. Conclusion :

L’utilisation de procédés littéraires variés permet à l’auteur de créer un texte riche et complexe qui explore les thèmes de la guerre, de la mémoire, de l’amour et de la mort. Le texte est particulièrement poignant grâce à la focalisation interne sur le personnage de Pierre, dont on ressent la douleur et la solitude.

En plus des procédés littéraires mentionnés ci-dessus, on peut également noter :

  • L’utilisation de descriptions sensorielles pour créer une atmosphère immersive.
  • Le choix d’un vocabulaire précis et évocateur.
  • La construction d’une intrigue captivante.

Ce texte est un exemple remarquable de la puissance de la littérature pour explorer les émotions humaines les plus profondes.

Analyse stylistique de Claude

Voici une analyse stylistique du texte avec les principales figures de style employées et la manière dont elles contribuent à construire la structure narrative :

Descriptions sensorielles riches (perceptions auditives, visuelles, olfactives, etc.) qui immergent le lecteur dans l’univers du personnage et créent une atmosphère sensorielle: “infime murmure du ruisseau”, “chatoiements du jour”, “parfum” des cheveux d’Anna, etc. Cela ancre le récit dans la réalité vécue par Pierre.

Parallélisme entre le début et la fin, avec l’image de Pierre qui pleure seul le soir, créant un effet de boucle tragique sur sa vie.

– Analepses (retours en arrière) vers ses souvenirs de guerre qui rythment le texte et apportent des éléments de son passé au fur et à mesure.

Personnification des éléments naturels (“Les lames s’éveillaient”, “la terre renaissante”) qui souligne le lien entre Pierre et la nature.

Métaphores fortes comme “le puits aux souvenirs” pour évoquer la mémoire du personnage de manière imagée.

Phrases courtes et simples qui alternent avec des phrases plus longues et complexes, reproduisant le rythme de la vie et des pensées du personnage.

Champ lexical de la souffrance et de la vieillesse (“corps raidi”, “usé par la maladie”, “frissonner”, “genoux”, etc.) qui montre la fragilité de Pierre.

Contrastes marqués entre joie/jeunesse (souvenirs amoureux) et tristesse/vieillesse (situation présente), accentuant la mélancolie.

Toutes ces figures de style servent à construire une narration intimiste ancrée dans les sensations du personnage, son passé douloureux révélé par fragments, et ses émotions profondes de solitude et de perte. Le lecteur suit le cheminement intérieur de Pierre à travers ces procédés stylistiques.

Analyse stylistique de ChatGPT4

Voici une analyse stylistique du texte que vous avez partagé, mettant en évidence les procédés littéraires utilisés :

Description sensorielle : Les détails décrivent les sons (le murmure du ruisseau, les craquements du bois), les images (le chatoiement du jour) et les odeurs (l’humus), ce qui rend le texte vivant et sensoriel.

Analepses : Le texte alterne entre le présent et les souvenirs de Pierre, notamment sa rencontre avec Anna en 1942 à Varsovie. Ces flashbacks apportent une profondeur émotionnelle et un contexte historique.

Métaphores et métonymies : Les “lames en bois” s’éveillent, la terre est “renaissante”, la “stèle” représente Anna. Ces images figuratives enrichissent le texte en créant des associations visuelles et émotionnelles.

Personnification : Les objets et éléments naturels, comme les murs ou la terre, sont dotés de caractéristiques humaines (éveillés, pleins de promesses).

Symbolisme : La terre, symbole de renouveau et de fertilité, est confrontée à la terre “stérile”, reflétant le contraste entre la vie et la mort, le passé et le présent.

Réalisme poignant : La description des gestes et des émotions de Pierre reflète une vie marquée par la douleur et la nostalgie, renforçant l’authenticité de son personnage.

Allitérations et assonances : Le texte utilise des répétitions sonores (“murmure”, “matin”, “mains”) qui créent un rythme poétique et une musicalité.

Champs lexicaux : Le vocabulaire est lié à la nature, aux saisons, au corps et à la guerre, ce qui renforce les thèmes centraux de la vie, de l’amour et de la perte.

Parallélisme syntaxique : La répétition de structures grammaticales similaires (“tout doucement”, “dans la chaleur”) donne du rythme et de l’emphase à certains passages clés du récit.

Ces procédés littéraires contribuent à construire une narration poétique, rythmée par la juxtaposition du passé et du présent, offrant une introspection mélancolique dans les souvenirs et les regrets du protagoniste.

The “Save the cat” method, explained by ChatGPT4

The “Save the Cat” method is a popular storytelling and screenplay writing strategy introduced by screenwriter Blake Snyder in his book “Save the Cat! The Last Book on Screenwriting You’ll Ever Need.” The method is named after an idea in the book that suggests the way to make a protagonist likable is to show them doing something nice early on in the story, like saving a cat, which helps the audience connect with them and root for them.

The “Save the Cat” method outlines a structured approach to plot development, comprising 15 specific “beats” or plot points that Snyder believes should occur in a specific order to create an engaging and satisfying story. These beats provide a template or roadmap for structuring a screenplay (or any narrative work), ensuring that key storytelling elements are introduced at the right times to keep the audience engaged. Here’s a brief overview of some of these beats:

1. Opening Image: Sets the tone, type, and initial glimpse of the setting and the main character’s life.

2. Theme Stated: The thematic premise is introduced, usually hidden in dialogue.

3. Set-up: Expands the opening image, introducing the main characters and their world.

4. Catalyst: The moment that sets the story in motion—also known as the inciting incident.

5. Debate: Should the protagonist proceed or not? This beat asks what the conflict will be.

6. Break into Two: The protagonist makes a choice that leads into a new, more complicated world.

7. B Story: Often introduces a love story or secondary thematic element.

8. Fun and Games: This is where the promise of the premise is fulfilled with scenes that are entertaining on the surface.

9. Midpoint: A pivotal moment that changes the game, raising the stakes.

10. Bad Guys Close In: Internal and external pressures mount on the protagonist.

11. All Is Lost: The lowest moment, where it seems like the protagonist has failed.

12. Dark Night of the Soul: The protagonist hits rock bottom and must dig deep to overcome despair.

13. Break into Three: Thanks to a new idea, the protagonist decides to try again.

14. Finale: The climax, where the protagonist proves they have learned the theme and applies it.

15. Final Image: Contrasts the opening image, showing how the protagonist and the world have changed.

This method has been influential in Hollywood and among many writers for its practicality and straightforward approach to structuring a narrative, ensuring a satisfying emotional journey for the audience.


 

La méthode ” Sauver le chat “, expliquée par ChatGPT4

20 mars 2024 par fabricedjime.fr

La méthode ” Save the Cat ” est une stratégie populaire de narration et d’écriture de scénario introduite par le scénariste Blake Snyder dans son livre ” Save the Cat ! The Last Book on Screenwriting You’ll Ever Need ” (Sauvez le chat ! Le dernier livre sur l’écriture de scénarios dont vous aurez besoin). “Cette méthode tire son nom d’une idée du livre qui suggère que pour rendre un protagoniste sympathique, il faut le montrer en train de faire quelque chose de bien au début de l’histoire, comme sauver un chat, ce qui aide le public à s’attacher à lui et à l’encourager.

La méthode “Save the Cat” propose une approche structurée du développement de l’intrigue, comprenant 15 “temps” spécifiques ou points de l’intrigue qui, selon Snyder, doivent se dérouler dans un ordre précis pour créer une histoire captivante et satisfaisante. Ces temps constituent un modèle ou une feuille de route pour structurer un scénario (ou toute autre œuvre narrative), en veillant à ce que les éléments clés de l’histoire soient introduits au bon moment pour maintenir l’intérêt du public. Voici un bref aperçu de certains de ces rythmes :

1. Image d’ouverture : Elle donne le ton, le type et un premier aperçu du cadre et de la vie du personnage principal.

2. Thème énoncé : La prémisse thématique est introduite, généralement cachée dans un dialogue.

3. Mise en place : Développe l’image d’ouverture, en présentant les personnages principaux et leur univers.

4. Catalyseur : Le moment qui met l’histoire en mouvement, également connu sous le nom d’incident déclencheur.

5. Débat : le protagoniste doit-il poursuivre ou non ? Ce temps pose la question de savoir quel sera le conflit.

6. Coupure en deux : le protagoniste fait un choix qui le conduit dans un monde nouveau et plus complexe.

7. Histoire B : Introduit souvent une histoire d’amour ou un élément thématique secondaire.

8. Amusement et jeux : C’est ici que la promesse de la prémisse est remplie avec des scènes qui sont divertissantes en apparence.

9. Le point médian : Un moment charnière qui change la donne et augmente les enjeux.

10. Les méchants se rapprochent : Les pressions internes et externes s’accentuent sur le protagoniste.

11. Tout est perdu : Le moment le plus bas, où le protagoniste semble avoir échoué.

12. Dark Night of the Soul (La nuit noire de l’âme) : Le protagoniste touche le fond et doit puiser au plus profond de lui-même pour surmonter son désespoir.

13. Break into Three (Se diviser en trois) : Grâce à une nouvelle idée, le protagoniste décide d’essayer à nouveau.

14. Finale : le point culminant, où le protagoniste prouve qu’il a appris le thème et l’applique.

15. Image finale : Contraste avec l’image d’ouverture, montrant comment le protagoniste et le monde ont changé.

Cette méthode a eu une grande influence à Hollywood et chez de nombreux écrivains en raison de son aspect pratique et de son approche directe de la structuration d’un récit, garantissant un voyage émotionnel satisfaisant pour le public.